Photo trouvée ici & ça vaut le coup d’œil! |
C'est après avoir lu les mots de Babeth que j'ai trouvé le courage, l'inspiration, l'envie d'écrire aujourd'hui. Merci!
Sous La Place, les jours fériés se télescopent avec les fêtes privées.
Les fêtes de fin d'année n'y font pas exception et on prolonge avec deux anniversaires au milieu desquels on n'oublie pas de tirer les Rois.
Depuis toujours ou presque, ce marathon de la bonne bouffe et des excès en tous genres se conjuguait au pluriel. Au très grand pluriel.
Plus de repas, plus de boisson, (pas trop) plus de cadeaux, moins de sommeil (!) mais surtout plus d'invités.
Il n'y a pas si longtemps, on fêtait tes 18 ans... La maison (à peine) remplie de trois grands-parents, huit oncles & tantes, cinq cousins et plus encore à table avec les petits-cousins et leurs parents.
On avait pris tous les sièges de la maison, et les bancs du jardin... Vingt-quatre personnes assises dans la salle à manger, un record* à ce jour!
Un (deux bientôt) divorce(s) & une mort plus tard...
Cette année à Noël, on n'a même pas eu besoin de mettre une rallonge à la table.
Aujourd'hui, j'essaye de préparer les 18 ans de ton petit frère.
On aura de nouveau besoin d'aller chercher les bancs du jardin, les tréteaux et une porte...
Ça va être bien! Tu seras là, dis?
*Grâce (ou à cause) de toi, un an après ta mort, on a vu qu'on pouvait faire rentrer plus de soixante-dix personnes debout, en les serrant comme dans le métro... mais on ne pouvait pas laisser les gens dehors fin février.